Titre VF: Barbe bleue
Auteur : Amélie Nothomb
Genre : contemporain
Edition : Albin Michel
Nombre de pages : 170 pages
Auteur : Amélie Nothomb
Genre : contemporain
Edition : Albin Michel
Nombre de pages : 170 pages
« La colocataire est la femme idéale. »
Voilà plusieurs années que je n'avais plus ouvert un livre écrit par Amélie Nothomb. Etant plus jeune j'étais véritablement mordue de cette auteure mais j'avoue avoir eu l'impression de ne plus la retrouver lors de ces derniers romans et petit à petit je me suis éloignée de ses livres. C'est lors d'une interview sur son dernier roman qu'elle est parvenue à piquer au vif ma curiosité et me donner directement envie de lire son livre. Voilà c'est chose faite maintenant et je ne peux vous dire qu'une seule chose, j'ai retrouvé l'écriture de l'Amélie Nothomb que j'aimais tant !
Dans cette histoire nous suivons Saturnine une jeune institutrice belge qui est montée à Paris pour enseigner. Elle habite pour le moment chez sa copine à Marne-la-Vallée. Un jour, elle obtient la solution pour quitter ce petit appartement. Elle répond à une annonce pour louer un appartement. Le propriétaire, Don Elemirio Nibal y Milcar est ce que l'on peut appeler quelqu'un de casanier et surtout très atypique. Il va en quelque sorte jouer le rôle du mauvais dans ce roman. Un jour, elle découvre un secret qu'elle seule semble ne pas connaître. Elle va alors se lancer dans une lutte permanente envers un sentiment contre lequel on ne peut rien ... l'Amour ...
L'écriture d'Amélie Nothomb est fidèle à elle-même. Elle reste personnelle et atypique comme je l'aime. L'auteure mêle parfaitement suspense, sarcasme et surtout elle jongle avec la langue française comme personne !
Le fait que le livre soit composé de septante pour cent de dialogues ne me dérange nullement. Au contraire, je trouve que cela aide encore plus à entrer dans l'histoire et à s'y accrocher.
Dans cette histoire nous suivons Saturnine une jeune institutrice belge qui est montée à Paris pour enseigner. Elle habite pour le moment chez sa copine à Marne-la-Vallée. Un jour, elle obtient la solution pour quitter ce petit appartement. Elle répond à une annonce pour louer un appartement. Le propriétaire, Don Elemirio Nibal y Milcar est ce que l'on peut appeler quelqu'un de casanier et surtout très atypique. Il va en quelque sorte jouer le rôle du mauvais dans ce roman. Un jour, elle découvre un secret qu'elle seule semble ne pas connaître. Elle va alors se lancer dans une lutte permanente envers un sentiment contre lequel on ne peut rien ... l'Amour ...
L'écriture d'Amélie Nothomb est fidèle à elle-même. Elle reste personnelle et atypique comme je l'aime. L'auteure mêle parfaitement suspense, sarcasme et surtout elle jongle avec la langue française comme personne !
Le fait que le livre soit composé de septante pour cent de dialogues ne me dérange nullement. Au contraire, je trouve que cela aide encore plus à entrer dans l'histoire et à s'y accrocher.
En conclusion, un livre qui a su me faire renouer complètement avec l'auteur et son écriture. Ce livre m'a fait rire et surtout il m'a fait passer un excellent moment de lecture.
Adulée, critiquée, marginale, Amélie Nothomb reste fidèle à ses idées, laisse vagabonder sa plume au gré des pages blanches et couche sur le papier des récits toujours plus originaux les uns que les autres. Issue d'une illustre famille bruxelloise, Amélie Nothomb découvre la Chine, New York, et l'Asie du Sud-Est lors des déplacements professionnels de son père, un ambassadeur belge. Née au Japon, elle reste profondément marquée par la culture nippone qu'elle porte dans son coeur et transpose dans ses écrits. Elle retourne en Belgique à l'âge de 17 ans et suit des études gréco-latines. En 1992, son roman Hygiène de l'assassinest accueilli avec un énorme succès et se voit adapté sur grand écran. Frustrée de ne pas être restée au Japon, l'auteur y retourne et retranscrit cette expérience plus que déroutante dans Stupeur et tremblements, couronné Grand prix de l'Académie française en 1999. Ce livre marque une période de retrait médiatique pour l'écrivain qui aime provoquer, puis est adapté au cinéma en 2003. Se définissant elle-même comme une "graphomane malade de l'écriture", elle sort un roman par an. Dans le Robert des noms propres, Amélie Nothomb romance la vie de son amie la chanteuse Robert. Son dix-huitième roman, Le voyage d’Hiver, est publié en 2009. Après Une Forme de vie en 2010, elle sort son vingtième roman Tuer le père en août 2011. En 2012 elle publie Barbe-Bleue.