Bonjour mes bibliovores !
Nous revoici pour un tout nouveau rendez-vous. Comme vous le savez j'ai une autre passion qui est le théâtre et je possède depuis plus de six ans un abonnement au théâtre. De septembre à avril je me rends une fois par mois pour voir une pièce. Ces dernières proviennes des théâtres parisiens et j'ai déjà eu l'occasion de voir de nombreux acteurs connus et d'autres un peu moins.
Il m'est donc venu comme idée de vous parler une fois par mois des pièces auxquelles je me rends et de vous donner mes impressions.
La première pièce dont je vous parlerais ici est "Bronx" avec Francis Huster.
Nous revoici pour un tout nouveau rendez-vous. Comme vous le savez j'ai une autre passion qui est le théâtre et je possède depuis plus de six ans un abonnement au théâtre. De septembre à avril je me rends une fois par mois pour voir une pièce. Ces dernières proviennes des théâtres parisiens et j'ai déjà eu l'occasion de voir de nombreux acteurs connus et d'autres un peu moins.
Il m'est donc venu comme idée de vous parler une fois par mois des pièces auxquelles je me rends et de vous donner mes impressions.
La première pièce dont je vous parlerais ici est "Bronx" avec Francis Huster.
Un petit résumé de la pièce
À l'angle de la 187e, au coin de Belmont Avenue, dans le Bronx des années 1960, Cologio, alias Francis Huster, se souvient de son enfance. Assis sur les marches de l'immeuble familial aujourd'hui sous scellés, il se revoit à l'âge de 9 ans avec ses parents et les mafieux du quartier: la Baleine, Eddy la Poisse, Frankie Tranche de Cake, et surtout leur chef, Sunny. Ce parrain redouté prend le garçon sous son aile parce qu'il l'a vu tuer un homme et ne l'a pas dénoncé à la police.
Le metteur en scène Steve Suissa a été tellement marqué par le film de Robert De Niro, Il était une fois le Bronx, tiré de la pièce du célèbre auteur et réalisateur Chazz Palminteri (1986), qu'il a décidé d'en faire une reprise française simplement intutilée Bronx. Alexia Perimony qui signe la traduction est restée au plus près du texte et restitue l'atmosphère électrique d'un quartier new-yorkais.
Le metteur en scène Steve Suissa a été tellement marqué par le film de Robert De Niro, Il était une fois le Bronx, tiré de la pièce du célèbre auteur et réalisateur Chazz Palminteri (1986), qu'il a décidé d'en faire une reprise française simplement intutilée Bronx. Alexia Perimony qui signe la traduction est restée au plus près du texte et restitue l'atmosphère électrique d'un quartier new-yorkais.
Mon avis
Pour certain d'entre vous, le nom de cette pièce ne sera pas totalement inconnu. En effet, il y à un film du même nom. Il était une fois le Bronx est un film américain réalisé par Robert De Niro en 1993, tiré de la pièce de théâtre du même nom de Chazz Palminteri. L'histoire se passe à New York, dans le borough du Bronx des années 1960, le quartier de Fordam est dirigé par la mafia. Les Siciliens règnent en maîtres et orchestrent comme bon leur semble l'activité du quartier. Lorenzo Anello, chauffeur de bus et père d'une famille d'origine italienne, va tout faire pour empêcher son fils Calogero de fréquenter ce milieu qu'il juge malsain.L'enfant, alors âgé de 9 ans, est témoin d'un meurtre commis par le capo Sonny. Lorsqu'il se fait interroger par la police, il va mentir afin de respecter la célèbre loi du silence, l'omerta. À partir de ce jour, Sonny considérera Calogero comme son propre fils. Ainsi, rien ne sera plus comme avant...
Autant vous dire que j'étais aux anges lorsque j'ai vu qu'il y avait cette pièce dans le programme de cette année car il s'agit d'un de mes films cultes et j'était très curieuse de voir ce que cela pouvait donner en pièce de théâtre. Car il faut quand même se rappeler qu'à la base s'en est une.
Je partais également anxieuse car j'avais un peu peur d'être déçue étant donné que je connais l'histoire sur le bout des mes petits doigts et que j'anticipe toujours les déformations dues aux divers changements de modèles.
Ce qui m'a le plus intrigué, c'est que Francis Huster était seul en scène. Il devait donc pouvoir maîtriser tout de A à Z, connaître les personnages mieux qu'eux même ne se connaissent et surtout savoir jouer avec les intonations afin que la transitions de l'un à l'autre soit parfaite.
Et voilà le spectacle commence et en une fraction de seconde je suis happée par l'acteur. Il apparaît assis sur les marches de son vieil immeuble en costume sombre. Et voilà l'histoire commence, les minutes défilent sans que je ne m'en rende compte. Francis Huster aura endossé en tout le rôle de dix-huit personnage. Une prestation époustouflante ! J'en ressors comblée, époustouflée et émerveillée.
Une pièce que je vous conseille de voir si vous en avez la possibilité car vous ne serez nullement déçue.
Je partais également anxieuse car j'avais un peu peur d'être déçue étant donné que je connais l'histoire sur le bout des mes petits doigts et que j'anticipe toujours les déformations dues aux divers changements de modèles.
Ce qui m'a le plus intrigué, c'est que Francis Huster était seul en scène. Il devait donc pouvoir maîtriser tout de A à Z, connaître les personnages mieux qu'eux même ne se connaissent et surtout savoir jouer avec les intonations afin que la transitions de l'un à l'autre soit parfaite.
Et voilà le spectacle commence et en une fraction de seconde je suis happée par l'acteur. Il apparaît assis sur les marches de son vieil immeuble en costume sombre. Et voilà l'histoire commence, les minutes défilent sans que je ne m'en rende compte. Francis Huster aura endossé en tout le rôle de dix-huit personnage. Une prestation époustouflante ! J'en ressors comblée, époustouflée et émerveillée.
Une pièce que je vous conseille de voir si vous en avez la possibilité car vous ne serez nullement déçue.
A la fin de la pièce je retrouve l'acteur pour discuter et le féliciter sur sa performance.
je ressors même avec une belle dédicace !
je ressors même avec une belle dédicace !